bagarre

j'ai assisté à une bagarre de lézard des murailles, sur le toit en ondulé de la terrasse du premier étage...

l'un des lézards, probablement des mâles, a saisi l'autre par le cou et ne l'a plus lâché... les secouements les ont ramenés vers le bord du toit... où la victime a été lâchée et est tombée depuis l'étage dans la végétation au sol environ 8m plus bas... probablement pas très endommagée car je ne l'ai pas retrouvée lorsque je suis descendu pour voir son état...

je me rappelle avoir déjà vu ce scénario l'an passé, le dessus de ce toit étant fréquemment choisi par les lézards pour s'y chauffer au soleil, et probablement capturer aussi les insectes qui s'y posent...

printemps

quelques images printanières...

(oxalis et pervenche)

(datura)

(pêcher)

il escalade le mur et monte jusqu'à l'étage sans problème...

(bonsaï : on peut en faire avec pas mal d'arbres)

j'ai posé le crapaud mort sur le compost à l'entrée du jardin (il y passe souvent des prédateurs) pour voir si quelqu'un allait l'emporter, mais il y est toujours... un Robert s'y intéresse..

(primevère élevée)

les papillons apparaissent : ici le vulcain. pas mal de citrons volaient mais ne se posaient guère... paon du jour, aussi...

(lierre terrestre)

"y a pas un bout de pain pour moi ?"

(populage des marais et dorine)

 

quelques images... 

depuis un moment personne devant les caméras... sauf lui, de passage...

il n'a pas voulu se montrer en entier... (probablement le chat sauvage)

pas mieux lorsqu'il est repassé le lendemain...

 

 la verdure comestible arrive...

mes ragondomestiques sont toujours là : un peu irréguliers lors des crues car ils vont plus loin si leurs terriers sont inondés...

deux d'entre eux se sentent comme chez eux, entrent et sortent : je leur apprends que le mot "fini" signifie qu'on arrête de quémander et de manger... ils ressortent alors tranquillement dans la cour puis vont brouter l'herbe en face de la maison... le long du ruisseau...

(ficaire)

avec la douceur c'est le retour des crapauds... j'en ai compté huit (la nuit de vendredi à samedi car ensuite c'est à nouveau froid) sur les cinquante mètres de route forestière qui longe l'étang... apparemment surtout des mâles sauf cette pauvre femelle qui n'a pas eu de chance et paralysée après un choc de voiture elle est morte aussitôt après... son compagnon, indemne, ne s'est pas rendu compte qu'elle agonisait...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

les oeufs arrivent...

(véronique et mouron)

les colverts étaient absents de l'étang depuis un moment : les voici de retour, peut-être pour nidifier...