lundi 24 mars 2025

 



il faisait pas loin de zéro, mais on s'y risque...

 lui, ne sort que par chaud soleil...

je suis rassuré car je les croyais presque disparus : j'ai compté près d'une vingtaine de crapauds accouplés sur une vingtaine de mètres le long du bord de l'étang...

et le résultat...



des promeneurs ont jeté quelques bouts de baguettes aux carpes et du coup
deux mâles ont choisi un bout de baguette comme partenaire... :-)


Ratibus n°1 et n°2 sont régulièrement devant leur terrier, au soleil, ou à brouter l'herbe du bord... lorsqu'ils veulent un bout de pain ils arrivent dans la cour : ils n'ont plus peur...

au bord de l'étang il n'en reste qu'un : deux ont disparu, peut-être question de prédateur ou de territoire...


rien de neuf, la nuit : les promeneurs habituels...





jeudi 20 mars 2025

 c'est aujourd'hui, le printemps... avec un joli dessin emprunté à notre artiste local Guy Untereiner...

 
çà fleurit doucement...


 
devant les caméras c'est plutôt calme et toujours un peu les mêmes... 
 
 rouge-gorge apparemment tellement matinal parfois, au point d'être un peu noctambule...

çà avait l'air de lui plaire : j'ai eu droit à une cinquantaine de petites vidéos à le voir aller et venir. . .









dimanche 16 mars 2025

quelques images... pas grand monde devant les caméras nocturnes... j'en ai posé une, de matin, quasiment à même le sol devant l'entrée de la cour, pour voir qui déambule...

bergeronnette des ruisseaux et ce qui pourrait être une grive...


sittelle et rouge-gorge - un pinson des arbres n'a pas voulu s'approcher suffisamment...



(martre des pins) (elle est un peu plus grande et massive que la fouine, et sa bavette plus jaune ne descend pas sur les pattes avant)



j'ai surpris l'un de mes ragondins à arracher une grosse touffe d'herbe pour l'emporter dans son terrier : pour en faire un matelas... ou peut-être un nid ?

le dessous de l'établi de la cour leur plait bien ... ils s'y sentent à l'abri...


lundi 10 mars 2025

il ne faisait que sept degrés, hier soir, lors de cette première rencontre dans la cour après un sommeil hivernal ...
 

je m'étais demandé si mes deux compères ragondins venaient de l'amont ou de l'aval, pour apparaître ou disparaître depuis le ruisseau : j'ai découvert hier qu'ils avaient élu domicile dans un terrier... au bord du ruisseau... juste en face... 

 

depuis plusieurs années le ruisseau est très ensablé de sorte que le niveau de l'eau a beaucoup baissé. (les truites ont disparu à cause de cela) un arbre devant le terrier empêche de circuler facilement en passant en-dessous : alors on creuse, remuant le sable à quatre pattes... celui-ci s'en va avec le courant permettant au ragondin de passer plus facilement en-dessous du tronc... j'ai observé que le ragondin est capable de déblayer ainsi le sable avec deux ou quatre pattes, tout en étant totalement immergé sous l'eau...

bain de soleil devant le terrier...




 dorine et lamier pourpre...