je m'étais éloigné à vélo une dizaine de minutes pour quelques photos de nos trois sortes de balsamines... au retour un gros sapin mort était tombé - même sans vent et heureusement sur la route déserte... il était en morceaux de sorte que je n'ai pas eu trop de problèmes pour dégager la route un instant obstruée...

 

acrobate...

dans une ornière du chemin où j'ai aussi croisé un jeune crapaud sonneur à ventre jaune... 

 

 

une touffe de sariette devant la porte... et c'est là que j'ai trouvé un exemplaire de l'argiope de Bruennichi (ou argiope frelon) que je guettais depuis un moment...

 (rudbeckia et pulicaire dysentérique)

la locuste verte est assez fréquente...

il ne faut pas la retenir sinon elle pince avec ses mandibules...

les onagres s'ouvrent le soir et se destinent aux butineurs nocturnes... les papillons de nuit brillent cependant par leur absence...

(origan et erigeron)

(bouillon blanc)

 

 

(menthe et galéopsis)

il tient ses pattes levées probablement pour mieux chauffer son ventre sur le substrat...

un taupin qui mange une mouche ... qu'il a peut-être trouvée car je le vois mal la capturer...

une grive musicienne qui a trouvé un petit escargot a apparemment aussi trouvé le moyen de casser sa coquille...

 les belles balsamines...

(angélique)

(locuste verte)

 

(eupatoire chanvrine)

les valérianes se terminent... tout comme les reines des prés et les erigeron...

ils arrivent quand on arrive... ils savent qu'il y aura probablement quelques pelures de pommes ou bouts de pain sec...

(brunelle)

(cétoine dorée, assez fréquente sur la reine des prés)

(aigremoine)