(benoîte urbaine)
je l'ai déterré en désherbant un carré de pommes de terre, heureusement à la main (plus facile de faire du désherbage sélectif) car j'aurais pu le couper en deux avec un outil...
je l'ai ensuite laissé se glisser sous l'abri à orvets sous le noisetier (les deux compagnons habituels ont disparu depuis un moment)
il y était bien installé à la tombée de la nuit...
à ne pas confondre avec du persil plat : la vénéneuse petite cigüe...
mais sinon je mange actuellement certaines plantes présentes à profusion...
comme l'ortie,
la claytone de Cuba ou pourpier d'hiver,
l'origan,
l'égopode,
le cirse maraîcher,
la consoude,
les campanules sont apparues
ainsi que les centaurées...
les genêts font des haricots...
un petit tour au crépuscule, avant que la nuit ne tombe, apparemment des coquelicots éclosent aussi à ce moment-là
1 commentaire:
A part le pissenlit, je serais bien incapable de cueillir des plantes sauvages comestibles.
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